Résumé : François Bernard, conseiller d'État, vice-Président de la CIVS et membre de la Commission depuis sa création en 1999, retrace, au travers d'un dialogue avec le journaliste et éditeur Antoine Spire, les vingt années d'exercice de la Commission, les questions qu'elle a dû résoudre, les ambitions attachées à son action, mais aussi ses limites.
Il évoque aussi son bilan, et les perspectives qui s'offrent à la CIVS, à l'heure où ses activités ont été réorientées vers les spoliations de biens culturels, et où la Commission dispose désormais d'un pouvoir d'autosaisine.